Si jeunesse savait…


Proverbe

« Si jeunesse savait, si vieillesse pouvait. ». Henry Estienne dans Les Prémices.

Henri Estienne, né à Paris en 1528 et mort à Lyon en 1598. Il fut imprimeur, philologue, helléniste et humaniste français. Il a donné son nom à une célèbre école d’arts graphiques à Paris.

Les Prémices, ou le premier livre des proverbes épigrammatisés, ou des épigrammes proverbiales rangées en lieux communs, a été publié en 1595.

Citation du général Douglas Mac Arthur

Extrait de son discours d’adieu aux étudiants de l’Académie militaire de West Point en 1962.

« On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d’années : on devient vieux parce qu’on a déserté son idéal. Les années rident la peau ; renoncer à son idéal ride l’âme. Les préoccupations, les doutes, les craintes et les désespoirs sont les ennemis qui, lentement, nous font pencher vers la terre et devenir poussière avant la mort.

Jeune est celui qui s’étonne et s’émerveille. Il demande, comme l’enfant insatiable : Et après ? Il défie les événements et trouve de la joie au jeu de la vie. Vous êtes aussi jeune que votre foi. Aussi vieux que votre doute. Aussi jeune que votre confiance en vous-même. Aussi jeune que l’espoir propre au sens. Aussi vieux que votre abattement.

Vous resterez jeune tant que vous resterez réceptif. Réceptif à ce qui est beau, bon et grand. Réceptif aux messages de la nature, de l’homme et de l’infini. »


Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *